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Cours du 05/05/09

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Leelo
Arkana
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Message par Arkana Mer 6 Mai - 22:26

Chapitre 9: La coercition des normes sociales.

On a vu dans un chapitre précédent la sacralisation du lien social. On voit d'ailleurs une frontière de plus en plus nette. Et donc finalement, il y a un approfondissement des mesures d'exclusion qui rejette un certain nombre de personne: les juifs, les lépreux, les exilés, ou encore les excommuniés des tribunaux ecclésiastique. La recherche de la fraternité conduit à exercer des contraintes fortes sur l'individu dont on exige une conformité. Celui qui veut et doit être intégré, doit se dégager des comportements non conformes de la norme commune voulue et pensée. Toute forme de déviance est très mal tolérée. Et, elle peut impliquer une désocialisation à moins que, cet individu déviant, trouve des gens qui ont les mêmes idées, et constitue avec eux un groupe. Comment s'exerce le pouvoir qui impose cette sociabilité exigeante? Pourquoi cette quête de conformité, et quels moyens sont mis en œuvre pour l'atteindre? Quelle est l'origine de ces normes? Le problème global étant de savoir si c'est la société qui produit ses propres membres, comment elle a pu imposer ces normes? Ou est-ce un pouvoir totalement extérieur? Autoritaire, contraignant? La société oppose-t-elle une résistance?


I. Une société de l'honneur.


Fondamentalement, la société médiévale se pense comme voulue par Dieu, et donc les hommes ne peuvent le modifier. Dit par Adalbéron de Laon, évêque vers 1030. Il évoque l'ordre voulu par Dieu, en distinguant des strates sociales: ceux qui prient, ceux qui combattent pour lui. Dans notre époque, c'est encore parfaitement vécu, et cela reste au cœur de cette société. Au XIIe et XIIe l'Église, par des traités, a construit un modèle social encore plus précis. Elle a encore mieux défini les groupes, en situant à l'intérieur même de ces groupes, des estats. Cela montre l'influence des trois groupes expliqués par Adalbéron de Laon. C'est un modèle que les gens vont imiter: chaque milieu reçoit en effet, un certain nombre de comportements auxquels il doit se conformer. Cette vision de la société est particulièrement forte, et nette dans des territoires tels que la France, l'Allemagne, mais moins vrai en Germanie, où ce modèle est moins présent. Cependant, dans la société italienne, il y a des traces d' héritages, non composés sur ce modèle chrétien. Dans la société antique, on note des ordines (ordres) mais le caractère sacré était beaucoup moins fort. Le modèle des estats est voulu par Dieu, et la définition de ces estats est une précision de la définition d'Adalbéron de Laon. Pour défendre les pauvres, (etc;), on précise de plus en plus les normes. Le paysan doit être un bon père de famille qui pait bien ses impôts. Il doit être un bon paroissien et se soumettre à l'activité ecclésiastique. C'est la même chose pour l'artisan, le moine. Cela atteint un degré de précision extrême pour la vie du moine. Il y en a aussi concernant la vie du clerc, du serviteur, du pauvre. Les pauvres doivent avoir un bon comportement, être de 'bons pauvres', qui n'exigent rien, et qui attendent qu'on leur donne l'aumône, ils ne doivent pas réclamer. L'Église sanctifie un certain nombre de Saints, il y a même les Saints serviteurs. Par ex, Sainte Zita, dont on raconte que c'était une bonne servante. Tous les serviteurs doivent l'imiter. Les Saints, ne sont pas seulement des personnages vénérables, mais des gens que l'on doit imiter, et qui sont des modèles actifs et présents. Toute une série de sermons du XIIIe siècle des frères mendiants, sont en fait des sermons aux estat (milieux qui composent la société), et on peut préciser que chaque milieu à son sermon. L'habillement, les paroles jouent un rôle très important dans les comportements, et marque l'appartenance à tel estat ou à tel autre. Les paroles elles mêmes doivent traduire l'état auquel les gens appartiennent.
Aux estats sont attachés de multiples honneurs: des droits, des privilèges, des préséance. La société est pensée comme une gigantesque hiérarchie, ou chaque estat à sa place et doit la maintenir. C'est subtil mais aussi mouvant. Car on pense qu'un estat en perdant ses privilèges, descend dans la hiérarchie sociale. Chaque estat doit donc maintenir la dignité de son rang. Et on discute beaucoup, et on négocie beaucoup, pour savoir si tel estat est supérieur ou inférieur à tel autre. On cherche aussi quels sont les critères de hiérarchisation, fondés sur des valeurs des clercs. A l'intérieur même des membres de l'Église, il y a des hiérarchisation précises. Est-ce- que les moines sont supérieurs aux clercs? Tout dépend des critères à adopter, et donc il y a aussi un débat sur les critères de hiérarchisation. L'ermite peut ainsi devenir le modèle par excellence. Certains, mettent en avant que c'est l'exigeante de l'évangélisme qui prime, d'autres que c'est la sacralisation (c'est à dire les ordres reçus, les rites). Dans d'autres milieux, la naissance est mise en avant. La vaillance au combat aussi peut être un critère. Dans d'autres milieux l'âge joue un rôle important. Il y a le savoir de la main, la technique acquise. Une personne plus vieille doit être plus honorée et avoir plus de dignité qu'un jeune qui doit faire son apprentissage et apprendre toutes les techniques. De manière générale l'ancienneté est quelque chose de vénérable. Le dévouement aux biens communs aussi est un critère, c'est toujours mieux que l'individu isolé qui se replie sur lui même. On a de multiples signes extérieurs, comme par exemple, le port d'insignes, la couleur du vêtement. Ainsi, le vert et le rouge sont jugés indigne d'un clerc. Les rangs dans les processions aussi. Les gens doivent être classés selon leur estat, selon l'ancienneté, et la perfection à laquelle ils aspirent. On ne peut pas se bagarrer avec les autres. C'est le rang de son estat que l'on défend. La violence est en effet admise pour défendre sa dignité. Mais elle ne doit pas être excessive. La peine sera donc plus douce que si c'est un meurtre programmé, défendre son honneur ça a un peu les mêmes conséquences qu'un crime passionnel aujourd'hui, on est jugé moins durement. Les pouvoirs dans la société sont aussi là pour définir les rangs et la hiérarchie, pour arbitrer les dissensions qui agitent tout. La dignité personnelle, et de son estat, sont étroitement lié. On nous attaquant personnellement, on attaque l'estat. Tout cela à une très grande cohésion et donc une très grande force. Les qualifications sociales, la façon dont on nomme les gens est parfaitement calculée. Par exemple, « une discrète personne » et une pers âgée et cultivée.
Chacun se construit une image sociale et participe à la construction de l'image de son destin. Le regard des autres sur « notre » estat tient une place considérable et doit être pris en compte dans notre comportement. Chacun épie, observe, critique, dénonce. Si on démontre aux yeux de tous que quelqu'un est indigne, si tel état à une image qui se dégrade, les autres rangs au dessous prennent sa place. Donc, chacun à intérêt à voir les non conformités des individus et des états qui l'entoure. On juge constamment les autres, et on ne laisse aucune liberté personnelle de comportement. C'est la fama, la renommée. Si elle est bonne c'est parfait, si elle est mala fama, on est perdu, on descend, peut être même jusqu'à une désocialisation. Chacun doit donc avoir une bonne renommée. Il y a un honneur personnel et un honneur collectif. Il est de la responsabilité du prince, du roi. La société dans l'ensemble doit donc avoir une bonne réputation. La mauvaise renommée est plus vite acquise que la bonne: elle se diffuse à toute vitesse, car la société médiévale est critique et médisante. Ou bien on se cache, ou bien on est conforme et honorable.


II. Les moyens immédiats du contrôle social.


L'injure, l'insulte, qui dénonce tel ou tel comportement. Si nous observons notre système d'insulte, nous voyons qu'il est large et flou. Or, au Moyen Age, pour chaque acte qui suscite une insulte, il y a un mot particulier. Chacun à le devoir de dénoncer par l'insulte. Parfois, quand l'oral est insuffisant, il y a des gestes d'insulte. Par exemple, toucher le chapeau de quelqu'un, ou lui faire tomber sa coiffure. Ce qui couvre la tête à une valeur particulière dans l'habillement et c'est particulièrement insultant. Les gestes sont souvent plus graves que les paroles. La seule réponse à l'insulte et la violence. Les coups sont donc très fréquents, il y a des rixes tout le temps, mais c'est normal. Il faut vider les querelles par la force (tempérer) car derrière il y a l'idée d'un jugement de Dieu. Ou bien l'insulte était justifiée ou bien, elle ne l'était pas. Dieu dans sa providence va donner la victoire physique à l'innocent. Toutefois, le système est cohérent et compréhensible. On est dans ce que l'on appelle un règlement de conflit infra judiciaire: on règle soi même ses conflits. Cette violence est finalement un moyen d'imposer la conformité. Le respect des règles à tendance à se renforcer. La violence se durcie, devient plus présente. A tel point que l'on peut parler, d'une certaine violence puritaine, contre les non conformistes. Il y a aussi des phénomènes de violence non spontanée. Les règles imposées au clergé par le concile de Latran 2 en 1139, interdit aux prêtres de se marier. Des jeunes gens arrivent au milieu de la nuit pour surprendre les gens dans une situation embarrassante, assurant que la faute à bien été commise. Il y a des expéditions punitives pour imposer le célibat au clergé. Le puritanisme prend donc le relais, impose et fait peur.
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Message par Arkana Mer 6 Mai - 22:27

La critique du comportement peut prendre des formes plus subtiles, surtout au XVe siècle. L'affichage par exemple. Les gens peuvent écrire des affichettes dénonciatrices affichées sur la porte de l'Église. On dénonce par des affiches anonymes. Quand notre nom est présent sur le placard, il faut ensuite rétablir sa bonne réputation perdue. On n'a malheureusement pas gardé de document précis, parce que souvent les victimes les arrachaient. Certains dénoncent cela, donc on a conservé des preuves, ils se plaignent parfois de diffamation. Il existe aussi des saynètes moqueuses. Quand une fille fréquente un gars, des gens se déguisent et montrent que les personnes se fréquentent. Cela touche surtout les mariage mal assortis, les maris trompés ou qui se font battre par leur femme. Il y a des sortes de conduites collectives plus ou moins organisées, dénonciatrices (toutes non conformité aux valeurs). Vers 1320, 1330 on voit apparaître les charivaris, des gens qui font des bruits (instruments) dans la nuit, devant la maison de quelqu'un dont on sait qu'il est impuissant. Se sont des moqueries collectives. Il faut payer à boire, et donner de l'argent. Manifester que l'on va changer son comportement. Les chevauchées, sont un fait plus graves: un homme est monté à l'envers sur un âne, c'est un acte humiliant. Il y a même des fustigations publiques, la foule se précipite pour fouette quelqu'un surpris dans un acte non conforme. On est à mi chemin entre des violences spontanées mais aussi des peines. Le sommet de cette humiliation sociale est l'exposition au piloris. Les gens sont attachés parfois spontanément, mais plutôt sur décision de justice pendant quelques jours. Les passants leur crachent dessus et les insultes, parfois ils leur apportent à manger. On est là dans des peines infamantes, on n'a plus une bonne fama.
La dénonciation aux autorités est une pratique couramment acceptée et bien vu, on peut même dire que c'est un devoir. Si on constate une faute commise par quelqu'un, et que l'on n'y participe pas, on accepte le mal. Ne rien dire, c'est le laisser prospérer. Ne pas dénoncer un acte mauvais, c'est laissé croire qu'il est toléré. Par le jeu de l'imitation, les autres vont pratiquer le mal. Sinon, c'est la gangrène du mal qui gagne. Chacun est responsable du bonheur, et du bon ordre de la société. L'origine de ce phénomène se trouve dans des pratiques précises, comme le milieu monastique. Une fois par semaine, en général le vendredi, il y a la correction fraternelle. On s'accuse de ses fautes personnelles devant des personnes, et les autres doivent dénoncer les fautes qui sont omises pas celui qui se dénonce. On ne dénonce pas que ce qu'on a vu par hasard, on observe chez les autres pour repérer ce qui est mal, on regarde par les fenêtres, on écoute aux portes. La médisance, la dénonciation peut être formalisée (une amplification de paroles parfois) et devenir le point de départ de quelque chose de plus conséquent. On lance une procédure judiciaire qui punira le mal. La dénonciation est devenue un élément important dans les procédures judiciaires médiévales.

III. Les structures répressives répondant à la demande sociale d'ordre et de conformité.

L'Église a considérablement développé une activité répressive pour imposer une conformité des comportements. A partir du XIIe s, se sont développées les officialités, ou les tribunaux ecclésiastiques, chargés de juger les fautes spirituelles. Et, il y a énormément d'actions qui mettent en cause les normes de comportement ecclésiastique. Le champ d'action est très large. Ceci est antérieur aux grandes entreprises de répression de l'hérésie qui date des années 1220, 1230, 1240. L'Église met en œuvre des méthodes observées auparavant. L'hérésie est seconde à l'entreprise de répression générale de conformité que mène l'Église, dès la fin du XIIe s. On voit une multiplication des tribunaux. Ses officialités ont mis en place de nouvelles procédures pour mettre en place la répression de la non conformité. Auparavant, l'action en justice ne peut être lancée que par une accusation. C'est ce qu'on appelle une procédure accusatoire, si personne n'accuse alors les gens ne sont pas poursuivie. Cela signifie que quelqu'un prend la responsabilité de l'accusation. Celui qui porte une fausse accusation, subit la peine de celui qui a été accusé à tord. Parfois, c'est la mort. Évidemment, on ne peut pas accuser n'importe qui, donc on hésite à accuser.
Face à cela l'officialité, à partir de la fin du XIIe s, a mis en œuvre une procédure inquisitoire, qui est antérieure aux tribunaux d'inquisition (rien à voir). L'action est lancée par un officier du tribunal, appelé le promoteur des causes. Il tient la place de l'accusation, et agit sur rumeur et dénonciation anonyme (ou pas). On n'a alors pas besoin d'être certain de la faute pour accuser. Le promoteur prend à sa charge la responsabilité de l'accusation. S'il accuse à tords, cela n'aura aucune conséquences pour lui (proche de notre système actuel avec les procureurs). La procédure inquisitoire, c'est l'Église qui ressent la nécessité de poursuivre, elle a en charge la répression pour assurer le bien commun. Cela repose sur la fama, les rumeurs qui court. On a donc un système efficace et répressif qui ne cesse de simplifier. Il n'y aura pas de conséquences si l'innocence est prouvée. C'est à l'accusé de faire preuve de son innocence. Par ailleurs, les officialités ont des recueils de dénonciation, lors des visites des autorités ecclésiastiques qui passent dans la paroisse (archidiacres, évêque ou son représentant) pour interroger les chrétiens sur les bonne mœurs du curé de la paroisse. On a des procès verbaux de visites. 25 personnes dénoncent les turpitudes de 25 autres. Par exemple, le devoir conjugal doit être rendu au moins une fois par semaine. Si on se plaint à une voisine que ce n'est pas respecté, on se retrouve à l'officialité. La dénonciation est sollicitée dans le cadre des visites pastorales. L'officialité peut aussi lancer des enquêtes générales. C'est la cas contre les hérétiques. Là, chaque chrétien est prié de participer à l'enquête et de dénoncer les hérétiques. Les gens acceptent de témoigner, et participent donc à la répression.

Les tribunaux laïcs, urbains, suivent ce mouvement, et passe dans les tribunaux laïcs ( ou officialités) Ils adoptent aussi une sollicitation des dénonciations, et adoptent la procédure inquisitoire. La population participe à la répression par sa parole, son action. Les gens sont sergents, ils sont les officiers subalternes, les hommes de main des tribunaux. On est sergent dans le village. Les sergents sont priés de procéder à des arrestations, ce n'est pas pour autant une police. Ils sont payés à l'acte, en dédommagement de l'arrestation qui les a empêché de travailler leurs champs. Un très grand nombre de gens sont sergents, l'arsenal des peines est étendus. L'infamie est une peine, la prison n'est pas une peine dans les tribunaux laïcs, mais ce n'est pas le cas pour les tribunaux ecclésiastiques. Les peines qui se déroulent en public ont une très grande importance. On multiplie les peines comme par exemple, on coupe l'oreille ou la main. Il s'agit toujours de rendre publique la peine, et d'humilier. L'appareil judiciaires est fondamentale, et l'État moderne qui se développe joue un rôle de plus en plus important dans l'imposition de cette conformité sociale. Il y a une montée en honneur, en dignité, en influence, des gens qui sont au cœur de ce système répressif, les juges ou les avocats par exemple. La chevalerie donne son sang pour son roi, mais ce n'est pas seulement que la marchandise, c'est bien d'être un savant à la cour de France. Les juges à la cour, ou sires en loi sont mieux vu que des gens dont la naissance est prestigieuse. Cela correspond aussi à l'essor des universités enseignant le droit.
N'existe t-il pas quand même une contradiction de la volonté de conformité et des principes multiples de solidarités? Comment la famille et les amis réagissent-ils quand une personne proche est accusée? La famille est suffisamment solide pour faire corps et protéger celui que la société dans son ensemble attaque? Ou est ce la répression qui détruit tout? C'est variable, mais il y a des solidarités fortes du groupe restreint pour défendre la personne accusée. Cela ne fonctionne pas toujours, mais il y a des manifestations de défense de la famille. Cette solidarité se manifeste par la multiplication des lettres de rémission. Se sont des lettres royales et éventuellement princières: le roi pardonne la faute commise. Elles sont toujours acquises par le témoignage des amis, du groupe restreint, qui bien que la personne soit condamnée, montre que c'est tout de même un bon père de famille etc. Ils plaident en faveur du condamné. Ce sont ces jeux de relations sociales qui permettent l'effacement de la faute, même si elle est punie et condamnée gravement. Le pardon est parfois plus fort. Le pardon social obtient une valeur à partir du moment où c'est tout un groupe qui agit.
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Message par Leelo Jeu 7 Mai - 12:11

Merci ! °(^_^)°
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Message par Max Jeu 7 Mai - 12:19

merci!

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Message par Sid Jeu 7 Mai - 13:12

cool!
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http://critiquesdumonde.blogs.nouvelobs.com/

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Message par Ben Jeu 7 Mai - 16:30

beaucoup merci ! =)

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Message par morvy Sam 9 Mai - 11:22

tu m'as devancé pour mettre le cours en ligne, mais j'ai envie de dire tant mieux xar il est parfait !!
Merci !
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Message par Arkana Dim 10 Mai - 23:16

De rien tout le monde!

Morvy ==> parfait?? LOL
Bah euh... Merci bien! ^^"
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